Voilà, Mein Kampf est souvent un livre à débat. J'ai donc décidé d'apporter ma critique que j'espère constructive.
Adolf Hitler pauvre bougre, victime d'une discrimination
anti-peintre raciste se décide à écrire Mein Kampf, en prison, alors
qu'il est accusé d'avoir monté un coup d'état contre le Gouvernement.
D'après lui, l'Allemagne serait gouvernée par des rouges, faux ! Jusqu'à
preuve du contraire, seuls les chiliens sont rouges après une
consommation excessive de Chili Con Carne, spécialité et tradition du
pays.
Dans ce livre, aux allures de pavé,nous retrouvons les
stéréotypes d'un mauvais écrivain : une écriture bâclée, du style
enfant caca-pipi et également du style« je me prends pour un méchant »
Mais
je vais vous dire, Monsieur le moustachu, être méchant, ce n'est pas
donné à tout le monde.Joseph Staline, véritable salopard de son état
donne des cours. Il vous en manque pour être le ReichFührer.
Mon
Combat représente également la génération politique d'une Allemagne en
crise, la soupe, c'est cher! La Prusse s'engouffre dans le système
politique du « C'est de ta faute, t'as un grand paf, t'es juif, et t'es
riche », de ce fait, on accuse les pauvres communistes mangeurs de Chili
à être coupable.
On apprend également dans Mein Kampf que le
pauvre Adolf est un enfant malheureux, voué à devenir le fonctionnaire
de son papa. Il ne le deviendra jamais. Les trente cinq heures, ce
n'était pas son truc, me diriez vous ? Il préférait errer dans les bars
pour y apprendre des théories sympathiques sur l'existence de Races ?
Soit !
Tantôt, nous évoquerons les choix politiques du petit
homme à la moustache trop courte et à la voix aussi assommante qu'un
pet d'Herman Gœring, son Ministre de l'Air,et sympathisant nazi à haute
dose, le genre de type qui vous tue en vous écrasant de ses fesses
flasques et graisseuses. Le genre accroc aux Haribo.
Mein
Kampf se place haut dans la future création du Parti politique du
siècle(certifié par Carrefour et Super U) , on y vante déjà les
principes du bébé à venir. On explique très clairement la croyance aux
Races Supérieures (oui,les castors sont les plus forts). Hitler exprime
toute sa haine qu'il a pour le peuple français, et oui Dolfy, nous avons
gagnés la Guerre, dans ta face de nazi !
Ce n'est pas comme
La Bible, non, Mein Kampf est tout de même plus profond. Il explique la
naissance d'un homme, la vie débauchée de ce dernier, et sa relation
(non sexuelle) avec le monde extérieur. Devenir fou, c'est après tout un
rêve comme un autre.
A proprement dire, les idées du livres
ont assez explicites pour ne pas être détaillées, nous accorderons un
point à la critique sur les français. Il passe son temps à passer sa
haine sur les français, accusant le peuple d'inférieur, mais devons nous
lui rappeler que sans les français,il ne pourrait pas déguster de
magnifiques escargots et des huitres fraiches ? Telles des morves issues
de son nez.
Nous devons également rappeler au petit Dolfy
que Mein Kampf est une daube. Une écriture aussi horrible que Stéphanie
Meyer et que son Twilight. Parlons de Twilight d'ailleurs, c'est un
livre xénophobe qui vante l'existence des Vampires, race apparemment
plus évoluée. Twilight est raciste,au même titre que Mein Kampf. Sauf
qu'Hitler n'a pas de pouvoirs,sauf celui de se faire entendre.
Mein
Kampf expose une vision décalée d'un Reich Millénaire. Hitler se rêve à
endosser le costume de Chancelier, mais pour le moment, il n'existe que
des tailles XXL et l'homme complexé de devoir se vêtir en 7 ans décide
de faire un coup d'état. Le coup de la Brasserie. Non, aucun rapport
avec la bière de Munich, dommage d'ailleurs. Un Hitler bourré pour tuer
du rouge, c'est plus vendeur. Sa petite moustache hérissée, Hitler
écrit et écrit, sans arrêt. Son livre est né. Une crotte est pondue.
On
vous dira qu'Hitler n'était pas écrivain à la base, et que d'écrire un
livre de sept cents pages,c'est bien. On peut également dire que ce
n'est pas parce que la crotte est grosse, qu'elle est sexy. Hitler est
un raté, et il le restera toute sa vie.
Consacrons ce
dernier paragraphe aux choix des idées politiques. Bien qu'elles soient
toutes nauséabondes. Adolf (Dodo pour les intimes) pose le vrai problème
de la société : « Si j'étais le chef, je te buterais, toi,toi et toi ».
Bienvenue en Allemagne, Bye bye BarbieLand(référence directe à notre
chère poupée Blonde et à ses sacs en peau de juif)